Le Butor étoilé est un grand ardéidé du genre Botaurus inféodé à la roselière. Comparé à un Ardea comme le Héron pourpré qui a un long bec, un long cou, de longues ailes et de grandes pattes, lui les a plus courts et est plus compact. Cela se voit bien au vol. Il est aussi plus massif et environ 1 fois et demi à 2 fois plus lourd. Son plumage a la couleur des roseaux, au point qu'il est très difficile à observer dans son habitat. Les parties inférieures sont jaune paille et montrent des bandes et des ... lire la suite (Rédigé par Jean François)
Au premier coup d'œil lorsqu'on rencontre la Sentinelle à gorge jaune on y voit immédiatement un pipit. Ce petit passereau est visible de loin et facilement identifiable avec son plumage brillant jaune vif. Très proche de la Sentinelle du Cap, avec qui elle partage une partie de son aire de répartition, elle arbore une gorge jaune ce qui lui vaut son nom. Le mâle adulte de la ssp nominale possède les parties supérieures brun-olive. La tête, la nuque et le manteau sont striés de clair. Les plumes de vol sont ... lire la suite (Rédigé par Nathalie Santa Maria)
Le Grand Cormoran est un grand oiseau aquatique reconnaissable à sa silhouette et à sa couleur noire, bien connues même du grand public. Au posé sur une branche comme il le fait souvent, on note un long cou à demi replié portant une tête hérissée à l'arrière et munie d'un long bec crochu à son extrémité, un corps allongé, une longue queue cunéiforme, enfin des pattes palmées courtes et puissantes, le tout presque tout noir. Au vol, le cou est tendu, ce qui donne une silhouette en croix unique. Un grand ... lire la suite (Rédigé par Jean François)
par Jean FRANçOIS, aidé de Dominique MARQUES pour la finalisation à destination du forum. Avant-propos : Qui ne s’est jamais questionné sur l’identité d’un pouillot explorant activement et en silence le feuillage d’un ligneux en dehors de la période de reproduction ? Probablement peu d’entre nous. C’est pour aider à l’identification de nos deux pouillots communs, le véloce et le fitis, que ce papier a été conçu. Il est bien évident qu’en période de reproduction, ... lire la suite
(Un article de Jean François)
par Jean FRANçOIS, aidé de Dominique MARQUES pour la finalisation à destination du forum. Avant-propos : Distinguer les petites rousserolles n’est pas chose aisée, déjà chez nous à la belle saison, a fortiori lors de la migration ou en hivernage en Afrique. Leur aspect est semblable et les différences de plumage sont faibles. Heureusement, en période de reproduction, des éléments nous viennent en aide, la répartition, l’habitat qui donne une très bonne indication et les émissions vocales qui sont ... lire la suite
(Un article de Jean François)
par Jean FRANçOIS, aidé de Dominique MARQUES pour la finalisation à destination du forum. Identifier correctement ces deux pipits n’est pas très difficile pour peu que l’on s’attache à ce qui fait leur spécificité. C’est ainsi que j’aborderai successivement l’habitat, l’aspect de chacun, les critères de plumage et la voix. Par souci de simplicité, j’utiliserai les abréviations suivantes : Pda pour le Pipit des arbres et Pfa pour le Pipit farlouse. L'habitat Ce ... lire la suite
(Un article de Jean François)
Nb de documents | Nb et % d'espèces concernées | ||||
---|---|---|---|---|---|
Fiches | 3 268 | 3 268 | 29% | ||
Photos | 317 403 | 9 182 | 9 594 | 82% | 86% |
Dessins | 12 195 | 5 447 | 49% | ||
Sons | 165 136 | 10 418 | 93% |